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POUR RIRE

POUR PASSER LE TEMPS

© Marc Ginot

Création 2015
Production : Cie les Grisettes
Coproduction : Théâtre de la Mauvaise Tête - Marvejols, Chai du Terral - Théâtre municipal de Saint-Jean de Védas, Communauté de communes Lodévois et Larzac, Associaton Bouillon cube - La Grange, Causse de la Selle.


La compagnie a bénéficié d’une résidence d’accueil plateau au domaine d’O, Domaine départemental d’art et de culture.

 

Aide au projet de la Région Languedoc-Roussillon.

 

Création & diffusion:
6 novembre 2015 au Théâtre de la Mauvaise Tête - Marvejols
10 novembre 2015 au Chai du Terral - Théâtre municipal de Saint-Jean de Védas
12 novembre 2015 aux Saisons du Lodévois et Larzac

15 juillet 2016 à La Grange - Bouillon Cube au Causse de la Selle (version extérieure)

 

Texte : Sylvain Levey
Mise en scène : Anna Zamore, Frédérique Dufour (Direction d’actrices) et Leonardo Montecchia (Chorégraphie)

Création lumière : Claire Eloy

Paysage sonore : Mathias Guerrero
Jeu : Florie Abras, Anna Zamore, Juliette Peytavin et Anne-Juliette Vassort

Durée : 1 heure

 

Tout public et scolaires à partir de 14 ans.

 

Ce spectacle a reçu le soutien de Réseau en Scène Languedoc-Roussillon dans le cadre de son accompagnement au collectif En Jeux.

«Le monde va droit dans le mur : en montrant ses penchants les plus bas ; en expulsant ses ultimes traces d’humanité comme une baudruche crevée. C’est ce que pointe Sylvain Levey dans Pour rire pour passer le temps, son écriture avance en pointillé, avec le goût amer de l'acier dans la bouche. Quatre personnages "jouent" à la torture : deux bourreaux, une victime, un complice malgré lui. Mais est-on complice malgré soi ? Un texte à la langue coup de poing, à la sensualité perverse, à l'humour désespéré, pour un plaisir de lecture et pour quatre comédiens athlètes.»

Quatrième de couverture du texte publié aux éditions THEATRALES

 

Il s’agit avant tout de parler de la violence, celle que nous portons tous en nous. Des schémas de pouvoir où des individus choisissent un bouc-émissaire pour ne pas être la victime. Pourtant, au milieu de ce manège, la victime n'est pas forcément celle que l’on attendrait.


Il s’agit aussi d’un jeu. Jouer à la torture. Jouer au théâtre. Jouer à être adulte et jouer pour de faux. Jouer à faire semblant. Faire croire. Faire rire. Faire pleurer. Faire peur. Faire passer le temps.


Un propos radical où les rapports humains sont sans concession. Une dénonciation de la violence par la violence poussée à son paroxysme.

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